Le Cercle des Fées ~ Le Renouveau
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Le Cercle des Fées ~ Le Renouveau

Un monde magique, où se mélangent féerie et fantaisie...
 
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 Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv]

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Edward Equéa
Élève de l'Air
Edward Equéa


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MessageSujet: Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv]   Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv] EmptyLun 13 Nov - 17:04

Il faisait noir, affreusement noir, tellement que s’en devenait oppressant, étouffants…Le voile de la nuit d’ordinaire rassurant pour le jeune homme le mettait mal à l’aise. Pause. Il cessa son ascension, à quoi bon dépasser ses limites pour gravir quelques marches supplémentaires quand on est à bout de souffles, quand on n’a pas de but à atteindre, qu’elle intérêt aurait l’effort que cela occasionné mis à part un dépassement de soi même, une témérité inutile, inutilement bonne. Avoir réussit.

Enfin...


Il s’assit sur une de ces marches que n’avait pas encore foulées ses pas, dos au mur, son regard doré constatant du trajet accomplit, des marches gravies, gravir encore, le fallait-il vraiment ? Sans doute, il n’allait pas passer la nuit ici, quoi que…Non, retourner en arrière dans les abysses de ces ténèbres, ténèbres semblables à ceux l’attendant en hauteur finalement. Encerclé par l’obscurité de son passé comme de son futur, proche ou longtemps, le fait de s’accorder une pause de pouvait pas être répréhensible.

Soupir...


L’ascension seule de ces escaliers n’avait pas été la seule raison de son pseudo épuisement, non il était juste…Fatigué sans doute, d’être ici, d’aller là, de tout, de ça, de lui, de vivre. Dire Fin, aurait été si simple et pourtant si dur. Dur, lâche, indigne de sa personne, du souvenirs qu’on aurait de lui, de ce peu de personne en qui il était redevable.

Eux, les rares personnes qui n'étaient pas inconnu en son coeur.


Une lumière d’une pâleur blanchâtre, sans éclat illuminait cette soirée sans lune. Faisait briller le reflet de ses yeux d’or, laissait deviner les contours de ses traits fins, de ses mèches noir corbeaux, noir de cette nuit parant l’ivoire de sa peau, le reflet de ses émotions, son visage. Le reste de son corps restait dissimulé. Enveloppe charnelle représentant à elle seule dans l’immobilité tout comme dans le mouvement l’insolence de l’âme l’habitant.

Lui, simplement.


Il avait froid, sa peau glaciale comme le marbre, tout aussi dure et douce à la fois, plus que d’ordinaire était de temps à autre parcourut de léger frisson ne le faisant pas pour autant bouger, ni même ciller. Non maintenant son regard uniquement focalisé sur le paysage qu’offrait cette nuit par la fenêtre cherchait…Ce regard cherchait une lueur à suivre dans l’obscurité.

Glacial espoir fugitif.


¤~


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Ambre Netsah
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MessageSujet: Re: Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv]   Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv] EmptyLun 13 Nov - 20:20

Ambre descendit rapidement les marches de l'escalier. Cela faisait quelques temps qu'elle errait dans le château. À la recherche de quelque chose? De quelqu'un? Ou peut-être simplement pour rester seule... La fatigue commençait à la tenailler sérieusement, il était tard et il faisait nuir noir à l'extérieur. Ambre jeta un regard par la fenêtre. Le parc était sombre, silencieux. Il aurait pu sembler maléfique, voir démoniaque, mais la splendeur du lieu ramenait toutes les mauvaises pensées à cette beauté blanche. En effet, il avait neigé. La neige avait recouvert de son voile blanc la moindre parcelle d'herbe et aux arbres pendouillaient encore quelques feuilles fragiles. Ambre longea le mur, collant son dos à la paroi humide, moite. Il faisait vraiment sombre, et Ambre ne voulait pas se servir de sa pierre pour allumer une des nombreuses torches qui ornaient les murs du couloir, ça ne servait à rien de toute façon. Et puis Ambre aimait l noirceur.

Elle continua sa promenade nocturne. Cela faisait plusieurs nuits qu'elle sortait en douce de son bureau. Pourquoi sortait-elle ainsi? Elle n'avait aucune idée de la volonté qui la poussait à y aller. Avait-elle seulement une volonté? La volonté d'être libre, sûrement. Un poids tros énorme pesait sur ses épaules. Ambre en avait marre. Marre de la vie? Oui, marre des nombreuses responsabilités qui la refermaient un peu plus sur elle-même chaque jour. Elle pensa à ses amis. Tous ceux qui étaient venus au Cercle, de plein gré ou non. Oui, ceux qui l'avaient aidé pendant tant de temps à surmonter ses faiblesses.

Ambre se mit à pleurer en silence. Des larmes salée gouttèrent une à une le long de joue. Ambre les essuya avec sa paume. Pleurer n'était pas digne d'une directrice. Et pourtant... Elle resta ainsi quelques minutes, silencieuse et immobile, les yeux dans le vide. Son coeur était meurtri, blessé. Ambre pleurait en silence, le froid engourdissait ses jambes et elle s'arréta et s'assit, ne sentant plus rien. Elle se dit qu'elle ne pourrait plus jamais faire confiance à qui que ce soit. Ils l'avaient tous lâchement laissée tomber, et elle avait mal à présent. En réalité, ils étaient tous très proche d'elle, tous s'aimant. Mais Ambre ne voyait que le côté obscur. Il ne fallait pas qu'elle sombre dans la mélancolie.

Le Mal, celui qui règne sur les démons et les monstres, il pourrait venir la chercher si elle était trop malheureuse. Mais Ambre s'en foutait bien à présent. Qu'est-ce que cela pouvait bien faire, si elle disparassait subitement? Personne ne la chercherait, personne ne serait triste de son absence... Elle se remit en marche, descendant, marche après marche, les escaliers. Soudain, elle remarqua une ombre. Un corps? Allongé dans les escaliers? Non... Elle s'approcha, doucement. Les murs semblaient se refermer autour d'elle à mesure qu'elle approchait de la chose inerte. Non, elle semblait respirer. Cette créature, était-ce un humain? L'avait-il vu? Elle s'assit à côté du personnage. Elle l'avait reconnu, c'était Edward. Elle ne lui parla pas, restant muette, immobile dans la noirceur...

Il avait été si distant et si froid avec elle, qu'elle ne se rappelait plus les bons moments qu'elle avait passés avec lui. Seuls les mauvais moments restaient imprégnés dans sa mémoire. Edward, celui qui avait fait battre son coeur pendant un moment, celui qui l'avait brisé en mille pièces infiniment petites... Un coeur trop lourd, un coeur trop brisé pour un jour pouvoir aimer... Était-ce pour cela? Pour cela qu'il l'avait lâchement laissée... Et pourtant, Ambre avait l'espoir qu'un jour, Edward pourrait la rendre à nouveau heureuse...
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Edward Equéa
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MessageSujet: Re: Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv]   Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv] EmptyMar 14 Nov - 14:10

La pluie que laissait envisager les ténébreux nuages étant à l’origine de cette opacité s’abattit enfin faisant disparaître toute pression du jeune homme qui laissa échapper un léger soupir. Ces flots s’était abattu comme l’on abaisse le rideau à la fin d’une représentation, d’un drame où s’enlacent deux amant cueillis par la mort dans la fleure de l’âge .Des larmes du ciel accueillant cette tragédie, la pluie fraîche est poignante vint perler de ses éclats cristallins le torse de couleur pur du sombre jeune homme. Celui ci par cette sensation sortit de sa léthargie, s’approcha, exposa d’avantage son visage à la nuit, ces frissons, sentir, ressentir était si bon…Ce sentir être. Dorénavant l’eau perlait son visage, le long de ses mèches elles fuyaient, roulant de sa racine jusqu'à ses reins en passant par sa nuque pour finalement rejoindre le sol sans un bruit, une fin d’une beauté silencieuse et douce.

La vie d’une goutte était courte et sans importance, résidante des cieux elle tombe sans cesse créant sensation frissonnante et admiration sur son passage pour finalement tomber, oui mais dans l’ignorance. Ça chute, lord de ce seul moment elle ne laisse pas les autres indifférents. Edward laissa ces gouttes mourir en lui. Trop froid, l’hiver, il sourit en coin pour lui même, oui il faudrait s’habiller en conséquence pour de pas succomber à un virus de passage, être clouer au lit, fiévreux et parcourut de sursaut par une chose infiniment petite, tellement qu’elle en était invisible n’était pas admissible pour la fierté du jeune homme pour qui l’honneur et la dignité reste l’ultime moral, la seule. Rapprochant ses genoux de sa taille, il se recroquevilla sur lui même, la tête entre ses mains, il cherchait un peu de chaleur. Cette perspective fit rire sa conscience si on pouvait appeler ça comme cela. L’être marmoréen, indifférent au autres, froid pour ne pas dire glacial cherchait dorénavant la chaleur lui étant nécessaire dans cette environnement tout aussi austère que lui.

Décidément il ne savait pas ce qu’il voulait…C’est l’analyse qu’ils auraient pu faire, eux qui l’observaient, le regardaient et naturellement le jugeaient. Mais non, se fier uniquement à ce que l’on voit pour en tirer un jugement était bien stupide, digne des êtres pour lesquels il n’avait jamais eux même le moindre regard. Ce qu’il voulait, lui il le savait et là résidait l’essentiel non ? Avoir au moment ou il le désirait l’objet de ses convoitises semblable au comportement d’un enfant gâtée qui pourtant de le fut pas. S’en séparer de temps à autre dans les larmes et le déchirement était une chose utile pour le seul plaisir des retrouvailles…Ou pas. Agir, posséder à sa guise, prendre, arracher même oui sans l’ombre d’un remord…Si ce mot avait encore une sens pour lui. Libre penseur agissant à sa guise, libertin, vagabond, dépravé…Des mots décrivant cette états d’esprit le flattant tant, le comparant à l’oiseau que l’on ne peut enfermer, celui que l’on admire de loin jusqu'à ce qu’il accepte enfin de se poser sur votre manche…D’en partir malgré vos effort pour le retenir, d’en partir avant que vous ne lui coupiez les ailes, ces ailes, cette liberté qui le rend si fascinant, sans elles ne pensez-vous pas que la créature perchait sur votre bras perdrait toute sa splendeur ?

Relevant son regard attiré par une sensation, un bruissement d’étoffe, il s’aperçut que d’autre larmes, différentes de celles des nuages coulaient, celle qui heurtaient le sol en face de lui était plus claire comme de petits cristaux se brisant, cristaux à l’image d’un sentiments fissuré. L’origine des larmes. Ressentir. Ses cheveux assombris son regard éclairci, tellement qu’il offrait en spectacle fusion de semblait-il deux oiseaux de feu sans cesse mobiles s’éleva jusqu'à l’origine de ces pleure. Vers celle qui de prénom décrivait ses yeux à lui, Ambre. Il n’aimait pas voir les larmes des autres, il ne voyait pas l’utilité de pleurer, même si c’était une réaction naturel elles n’étaient là uniquement pour imposer souffrance, peine aux autres, par auto-protection pour se prouver qu’ils peuvent s’inquiéter pour soi, que l’on est pas seul et reclus. Larmes égoïste, symbole d’un mal être que l’on se forge. Edward par réflexe s’était relever d’un geste habituellement rapide et gracieux sans un bruit, seule celui de la pluie martelant à l’extérieur servait de fond sonore. Il essuya les larmes de la jeune directrice avec délicatesse du bout de ses doigts marmoréens. Son attention n’était pas de paraître attentionné, doux…Non simplement seule les sanglot du ciel le soulagé, ceux des autres, des humains, comme lui le répulsait.

« Tu ne devrais pas veiller aussi tard. »


Il s’exprima de façon indifférente, presque sèche. Cependant atténuer par les accents velouté de son ton et rendu doux par ses origines anglaise faisant glisser les syllabe le long de l’oreille de celui les écoutant.

« Surtout lorsque la nuit est tombé, être dans une école ne d’abrite pas des personnes dangereuses. »
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Ambre Netsah
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MessageSujet: Re: Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv]   Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv] EmptyVen 8 Déc - 23:41

Ambre resta immobile. Elle ne cherchait en rien à prouver quoique se soit à Edward en pleurant. Pleurer n'étais pas dans ses habitudes, et pourtant elle se laissait aller comme si ses pleurs allaient pouvoir changer les choses. Au fond, Ambre savait que les pleurs ne feraient que rajouter tristesse à sa misérable vie. Une vie de solitude et de responsabilités pesant sans cesse sur son dos. Sa vie n'était-elle pas un amalgame de toutes ses tristesses, de toutes ses fautes qui s'entassaient dans son esprit. Ambre ne voulait pas de cette vie-là. Tout ce qu'elle voulait, c'était partir. Partir loin de tout cela. Mais fuir n'était pas là la solution. Fuir était lâche. Était-elle lâche? Lâche au point de tout laisser tomber? Ambre pleura de plus belle. Lorsque le jeune homme vint lui caresser la joue d'une geste lent pour essuyer ses larmes, elle retint les dernières gouttes salées afin de marquer son respect à Edward. Il avait-il été galant, attentionné?

Ambre préféra ne pas se faire d'illusion. Edward ne l'avait jamais aimé, et il ne l'aimerait jamais. C'était ainsi. Et pourtant Ambre continuait à aimer désespérément le jeune homme. Comme si sa vie en dépendait, elle aimait à le voir heureux, ce qui n'était pas en son habitude. Edward était toujours renfermé, comme le jour de sa rencontre. Elle s'assit près de lui, laissant derrière de douloureux souvenirs. Recommencer? Pouvait-elle simplement oublier et pardonner, puis recommencer à l,aimer, comme avant? Et lui, éprouvait-il seulement un sentiment pour elle? De la pitié sans doute, car elle avait pleuré et Ambre savait qu'il n'aimait pas voir les gens pleurer. Elle le regarde dans les yeux, ces yeux si profonds et si vides de tout sentiment. Et pourtant... Ambre ravala un sanglot.

"J'en ai le droit... Veiller tard la nuit me permet de m'éclaircir les idées..."
Elle laissa son regard vagabonder sur son visage. Il était si beau, si parfait. Les lignes de son visage étaient droites, mais dessinées à la manière d'un artiste. Puis, elle se rapprocha de lui, approchant son visage du sien... Et murmura:


"Et puis, je saurais me défendre... Contre les personnes dangeureuses..."


Elle se rapprocha encore, et déposa ses lèvres sur celles du divin jeune homme, laissant gambader ses lèvres sur les siennes. Sa main vint s'appuyer sur la nuque du garçon, pour mieux approfondir le baiser qu'elle lui donnait. Elle garda les yeux fermés, elle ne voulait pas qu'il se rende compte que ses yeux perlaient de goutelettes fines. Ses larmes coulèrent sur sa joue et tombèrent sur son épaule. Elle ne voulait pas qu'il voit la joie et le bonheur qu'elle ressentait à cet instant précis. Elle lui offrait son amour... Allait-il le refuser?
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MessageSujet: Re: Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv]   Gravir, l'Obscurité d'une nuit sans étoiles. [Pv] EmptySam 9 Déc - 9:02

Ils avaient froid tout les deux, elle en pleurait, il en frissonnait. Sa vois, il semblait de l’avoir pas entendu depuis longtemps « trop » vint à son esprit. Edward n’ajouta rien à ses dires. Non il ne voyait pas quoi répondre pour prolonger se discours hypocritement indifférents entre eux, elle et lui. Il n’avait jamais ignorer les sentiments d’Ambre à son égard, ni au premier regard, ni a cette instant. Tout était clair dans son esprit pourtant tellement, constamment brumeux. "Et puis, je saurais me défendre... Contre les personnes dangereuses..." Aimait-elle souffrir à ce point ? Ou croyait-elle vraiment en ce jeune homme qui n’avait de cesse de repousser toute personne franchissant les limites de ce qu’il aimait appeler les tolérances de sa pseudo humanité. Hum…

Elle approcha ses lèvres des siennes le fixant, cherchait-elle une once d’espoir ? Un regard lui indiquant qu’elle pouvait agir et atteindre la finalité de ses attentions ? Elle trouva peut-être cette chose dans son regard car elle s’approcha encore, plus, jusqu'à de plus pouvoir, jusqu'à se que leur lèvres s’unissent. Il ne frissonna pu, elle pleura encore, seul l’origine de ses larmes changèrent. Elle se sentait seule, était-ce cette unique raison qui engendra son geste ? Fatigue, solitude, le besoin d’autre chose, de lui ? Peu importait ses motivations, après tout Edward lui avait besoin de chaleur à cette instant où il avait si froid d’extérieur en intérieur. Il ne comptait pas faire fondre la glace protectrice qui faisait de lui ce qu’il est, qu’il fut et qu’il resterai jusqu'à sa mort. Mor,t un être tel que lui l’est soi déjà, soi de le serra jamais, c’est ce qu’on pouvait imaginer avec une certaine aisance.

Il prolongea le baiser avec toute la fougue qui le qualifiait, lui solitaire, on aurait aisément pu l’imaginer maladroit dans ce domaine, celui de contact mais non, même là il ne l’était pas. Comme pour toutes choses qu’il entreprenait, il semblait avoir était conçu uniquement pour ça. Il plaça une de ses mains sur les hanches de la jeune fille et l’autre dans sa chevelure, derrière sa nuque si fragile entre ses longues mains fortes et douces. La nuit était dorénavant accompagnée de l’orage le vacarme entourant les deux jeunes amant de permettait cependant pas de dissimuler les fracas de leur cœur, celui de la jeune fille frappant rapidement contre le torse du jeune homme se trouvant aussi proche qu’il était possible dans leur position respective. Et le cœur de se jeune homme, celui qui par instant semblait inexistant, signalait sa présence en cette instant, faiblement de manière à peine audible…Il était encore une fois indécis et ne savait pas s’il avait bien agit…A cette instant, il en avait eu juste envie…Etre serré, aimé embrassé, oui à cette instant c’est se qu’il désirait plus que tout. Et après ?
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