Rose était au lac, sur sa pierre. Cette pierre qui en avait vu tant, cette endroit sous la lune. Et oui, il faisait nuit, minuit même. La jeune femme appréciait la douce lumière, c'était appaisant. Le vent venait et allait, doucement, lentement. Les long cheveux brun de la jeune femme allait avec ces mouvement. Ses yeux, ce bleu si pure et profond, ils regardaient au loin, il laissait des pensées les envahir.
Rose s'assit en boule. Elle avait froid. Elle avait froid depuis longtemps. La jeune femme se leva après un long moment. La lumière de ce doux astre l'éclérait. On l'avalit qualifié de pure, elle, la jeune et douce demoiselle. Mais elle se souvenait, elle avait été plus.
Sous cette lumière, dans cet atmosphère, elle paraissait si différente. Cette purté qui émanait d'elle était toujours présente mais il y avait quelque chose de mystique, d'incésisable. Elle commença à fredonner une vielle mélodie, douce et sincère mais, elle aussi, étrange et mystérieuse. Le vent la poussait, la jeune femme regardait au loin. C'était comme un tableau, ou presque.
Sur son visage, une larme. Une perle de cristal, illuminé par la char vaporeux de la reine des ombres. Puis, elle sourit, c'était étrange. Elle se sentait bizar à l'intérieur, comme perdue d'une certaine façon. Sa vie avait complètement changé depuis qu'elle était venu ici. La jeune princesse était heureuse, mais triste à la fois. Elle ne pouvait pas placer ce sentiment. La goutte tomba sur le sol dans un petit clique. Un silence inpénétrable règnait sur les lieux. Un brouillard venait et allait.
Rose se retourna, doucement, gracieusement. La lune illuminait maintenat son visage. Elle était comme paisible, mais ses yeux, ces deux abisses, révélaient le tourment intérieur, la peine. Elle se sentait égoïste, pour elle, penser à soie, ça ne se faisit pas, elle ne pouvait pas se laisser appitoyer.
La jeune femme écarta ses bras vers le ciel et la lune, comme pour les serrer et ne jamais laisser aller. Elle sourit tristement. Était-ce vraiment cela son destin?
(Edward)
