Arriver dans la salle commune

Luciano hocha la tête, complètement d'accord et très impressionné. Elle était très sérieuse, Abigaile, mais en même temps elle s'avait s'amuser, même si s'était simplement verbalement. Quelqu'un sans humour n'aurait jamais pu échanger autant de mots avec Luciano sans vouloir le tuer.

"Même le petit Yuki à un passé dur. Il a été rejeté par sa mère et ses frères, et son premier maître l'a abandonné un hiver glacial. Je l'ai trouvé près de l'entrée du forum à Pompéï dans une boîte si grande qu'il n'aurait jamais pu en sortir. C'était comme si la personne qui l'avait abandonné voulait qu'il meurt de faim."

Sa voix était triste. Il ne comprenait pas comment une personne pouvait être aussi cruelle à un innocent petit chaton. Yuki sentait la tristesse de son maître, et vint lècher son nez, comme pour dire, "Tout est fini. Nous sommes ensembles, et je suis ton ami."

Luciano sourit. "Je sais mon gros. Vas-voir Abigaile ou elle sera jalouse. Il faut que tu prennes soin d'elle, si tu veux la garder." Yuki obéit.

Abigaïle écouta l'histoire, un regard triste au visage. Comment est-ce que quelqu'un pouvait faire ça? C'était horrible. La jeune femme regarda le chaton lècher le nez de son maître du au ton de sa voix.

''Tu as fait la bonne chose, le pauvre petit Yuki ne serait plus là sans toi...''

Sous le conseil de Luciano, l'animal vint la voir. Elle le prit dans ses bras délicatement et le serra. Elle c'était attacher à cette petite bête très rapidement. La jeune femme regarda Luciano dans les yeux un moment. Elle ne savait pas vraiment quoi dire mais elle lui sourit, c'était probablement à cause de sa remarque. Yuki miaula et sauta de ses genoux jusqu'à Luciano. Elle le laissa aller mais lui tira la queu gentiment, juste pour l'énerver un peu.

''J'espère ne pas le perdre non plus, il est si mignon.''

La chaton se retourna et ronrona, cela fit rire Abigaïle. Un son gracieux et mélodieux qui ne s'échappait que rarement de ses lèvres. La jeune femme sourit au chaat et à son maître, heureuse de cette nouvelle rencontre.

Luciano rit aussi, contant qu'Abigaile aimait Yuki autant que le chat l'aimait.

"T'inquiètes, il t'a adoptée, donc il ne te lâchera jamais. Il est très possessif."

Luciano se demandait comment c'était possible de tenir une conversation uniquement concentrée autour d'un chat. Ça faisait au moins une heure qu'ils discutaient, et tout revenait à Yuki.

Il commençait à avoir un peu soif encore, et il se rappela qu'Abigaile avait placé le picher près du feu. Qu'est-ce qu'elle voulait faire avec?

Il préférait souffrir que de s'approcher du feu. Il sortit un paquet de gomme à macher au thé vert de sa poche et en mit une dans sa bouche. Ça aiderait sa soif. Il en offrit une à Abigaile.

Abigaïle prit un morceau de gomme et le remercia. Après avoir macher quelque instant, et réfléchit, elle sourit.

''Je vient juste de réaliser que nous n'avons parler que de Yuki, c'est bizar. Je ne te connais pas tant que ça mais je trouve gentil, disons arrogant aussi, mais t'es comme moi en quelque sorte.''

Elle lui sourit. Abigaïle avait soif et alla chercher le pichet d'eau. Elle s'en versa un vers puis en tendit un à Luciano. Elle l'avait vu regarder le picher avec envit, mais refuser d'y aller à cause du feu. Elle prit un grogée et sourit; avec la gomme ça faisait comme boire du thé frais.

''La vie est bizar des fois je trouve. Bizar et inexplicable....''

La jeune femme ressera son entreinte sur la couverture pour y rechercher de la chaleur. La chaton, devinant probablement son malaise, vint se blottir dans son cou. Elle eu un sourire reconnaissant et lui flatta la tête.

Luciano accepta avec gratitude le verre d'eau et sourit.

"Est-ce que tu aurais des pouvoirs de télépathie par hasard? On dirait que tu penses la même chose que moi."

Il plaisentait seulement en partie. Il ignorait quels genres de pouvoirs les élàves de cette école avaient, et quand ils les recevaient ou même s'ils pouvaient les utiliser hors de la présence de leurs professeurs.

D'ailleurs, un pouvoir comme la télépathie ne pouvait pas facilement être refoulé.

Abigaïle sourit et regarda le feu. Télépathie? C'était drôle comme idée, mais ce n'était pas la première fois qu'on lui disait.

''Tu es drôle. Non, je ne suis pas télépathe...Ce serait interessant par contre...''

La jeune femme ne pouvait pas s'empècher de regarder le feu, comme si il allait l'enfermer ou l'aspirer. Elle ne se sentait pas très bien, mais ce n'était pas visible. Abigaïle s'était entrainé toute sa vie à bloqué les autres, à ne pas les laisser voir ce qu'elle pensait ou ressentait.

''J'aime obeserver...Le manies, les détails...Tout ce que les gens font...Leur peur et leurs joies...Tout ce qui les animent...Je les analyse en quelque sorte...Mais avant, je les observes....''

Elle sourit vaguement, ailleure, pensante.

''C'est une défence en quelque sorte, un moyen de les percer, de les voirs avant qu'il ne me voit, avant qu'ol sache qui je suis vraiment...''

En disant cela, la jeune femme regarda par la fenêtre. Elle y pensait souvent... Qui était-elle vraiment? D'ou venait-elle vraiment? Qui serait-elle un jour...

"Les percer?" Luciano leva un sourcil. C'était une façon intéressante de le mettre.

Il observait Abigaile du coin de son oeil. Elle n'avait pas l'air d'aller bien, physiquement et émotionnellement. Elle avait l'air d'avoir froid en plus. Pourquoi est-ce qu'elle restait si loin du feu alors?

"T'as pas froid? Tu peux t'approcher du feu, tu sais. Juste parce que ça me terrifie, ce n'est pas une raison pour l'éviter."

Il se doutait que ce n'était pas pour ça qu'elle ne s'approchait pas, mais quand même. Il n'aurait jamais parlé de sa peur du feu à haute voix, mais il savait que Abigaile connaissait son secret.

Abigaïle sourit secretement.

''Oui, les percer. Eux, comme leur secrets...''

Quand Luciano lui fit remarqué qu'elle avait l'air d'avoir froid et sursauta et détacha son regard du feu, comme si elle s'était réveiller en quelque sorte.

''Froid? non non, ça va, je n'ai rien...''

La jeune femme lui sourit quand il avoua avoir peur du feu. Il savait qu'elle savait. C'était étrange, mais, le feu ne lui donnait pas confiance. Cependant, la jeune femme surmonta cette impression et s'approcha quelque peu des flammes. C'est vrai qu'elle avait froid mais elle ne voulait pas le montrer. Avait-elle laisser ce jeune homme infiltrer ses barrière? Non, elle ne se contaolait pas aussi bien que d'habitude, ça devait être une fièvre ou quelque chose.

Abigaïle reservit de l'eau à Luciano. Elle en bu aussi, le froid l'appaisait. La jeune femme regarda Luciano intencément. Le feu refletait dans ses yeus d'or, c'était quelque chose de mystique, avec un brint d'étrangeté.

''Quand est-ce que ça à commencé? Tu sais pourquoi?''

Ces questions aurait pu parraître vague, mais elle savait que Luciano comprendrait qu'elle parlait de sa peur du feu. Il pourrait lui répondre ou non, s'il ne voulait pas, elle comprendrait et ne pousserait plus. Sa voix n'avait pas eu une tonalité spécifique; ni curieuse, ni poussé...simplement douce, calme et silencieuse d'une certaine façon. Abigaïle serra légèrement la couverture autour de ses épaules puis se leva. Elle alla ouvrir une fenêtre et la poussa grande ouverte. Un coup de vent entra et la frappa violament. La jeune femme ferma les yeux et respira à bon coup, ses cheveux volant autour de son visage. La lune l'illuminait maintenant, elle tourna la tête légèrement et sourit à Luciano. Son sourire était criptique comme à ses habitudes.

Luciano mordilla sa langue et sa lèvre inférieure. Pourquoi? Il ne voulait pas s'en rappeler. Mais simplement le fait d'en parler fit resurgir ses souvenirs.

Il se leva. Il avait l'air très fatigué tout d'un coup. Il s'approcha de la fenêtre, regardant l'espace directement sous la fenêtre. Il hésita de parler de son passé à Abigaile, mais peut-être que ça lui ferait du bien d'en parler. Apparemment un grand nombre de thérapeutes pensaient que c'était une des meilleurs façons de guérir les maux psychologiques.

"C'est une très longue histoire..."

Peut-être que Luciano espérait qu'Abigaile était trop fatiguée pour écouter son histoire. Mais d'un autre côté, il voulait vraiment en parler à quelqu'un. Mais non, ses souvenirs étaient trop douloureux.

Il ne savait plus quoi penser.

Abigaïle regardait droit devant elle. La lune et les étoiles éclairaient les terres de l'école. Elle sourit quand elle entendu Luciano se levé et venir près de la fenêtre.

''Je ne m'attendais pas à moin.''

Elle lui sourit, mais vu qu'il avait l'air très fatigué. La jeune femme trouvait cette scène asse comique mais aussi un peu mignonne. Ce Luciano fatigué lui faisait bizarement pensé à Yuki. Elle sourit à cette idée. Abigaïle prit la main de Luciano et le mena au sofa. Elle s'assit à un côté et lui de l'autre.

Abigaïle voyait qu'il était fatigué, elle sentait aussi que malgré ses réticences il voulait en parler. La jeune femme avait décidé de prendre cette chance. Yuki vint se peletonner entre les deux et Abigaïle le caressait entre les oreilles. Elle leva son regard, qui avait jusqu'à présent été sur le chaton, vers Luciano et lui sourit sincèrement.

''Nous pouvons la commencer, et si tu te sens trop fatigué après et bien on arrêtera...''

La jeune femme voulait en savoir plus sur ce jeune homme. Il était comme elle, mais très différent. Abigaïle sourit quand Yuki ronrona et s'endormait. Elle attendait avec patience mais aussi avec grande curiosité que Luciano commence son récit.

Luciano poussa un soupir. C'était maintenant ou jamais.

"Avant de vivre à Sorrento, j'étais sur les rues de Rome. Il y a en fait deux raisons pourquoi j'ai cette terreur. La première étant que les membres du gang avec lequel j'étais m'ont inicié en m'attachant et me pendant par dessus un puits sec dans lequel ils avait allumé un énorme feu. Ils m'ont laissé comme ça pendant des heures. À la fin, j'avais un horrible coup de soleil et j'étais tellement déshydraté que je pouvais à peine bouger. J'imagine que c'est pour ça que quand je m'approche trop du feu maintenant, j'ai l'impression que mon sang s'évapore."

Ses mains commencèrent à trembler. La prochaine partie de son histoire lui donnait encore des cauchemars.

"Tu te rappelles quand j'ai dit que ma bande fut arrêtée alors que je me faisais tatouer? Eh bien la police voulait s'assurer que personne ne pourrait utiliser notre base secrète pour commencer une autre bande. Je le savais pas. Je m'étais réfugié dans un passage secret dans le sousol de la base, alors je n'ai pas senti le feu avant qu'il ne soit trop tard. J'avais senti la chaleur après quelque temps, et je me suis dit que peut-être il y avait un feu, mais je n'aurais jamais pu m'attendre à ça."

"Il y avait des flammes partout. La police avait enflammé absolument tout, et il n'y avait déjà presque plus d'air. Il faisait tellement chaud que j'étais déshydraté en à peine cinq minutes. Le plafond s'effondrait, le sol aussi. Je ne savais pas par où aller; il n'y avait nulle part où je pouvais aller, le feu était partout. Même aujourd'hui, je ne sais pas comment je m'en suis sorti vivant. J'ai trouvé un petit coin protégé et j'ai attendu que le feu disparaisse. Il me semble que j'ai perdu conscience, et quand j'ai repris connaissance, j'étais dans un hôpital, couvert de brûlures et avec un masque d'oxigène. On m'a dit que mes poumons étaient très endommagés et que j'aurai des problèmes toute ma vie. Mais peut-être que mon potentiel de pouvoirs féériques m'ont guérri, parce que je n'ai jamais eu de problèmes."

Sa voix devenait de plus en plus douce, jusqu'à ce qu'il devienne silencieux. Ses mains tremblaient encore. Sa gorge souffrait, et il avait l'impression que la peau sur son visage était sèche et craquait. Il toucha son front, et vit qu'il suait légèrement avec sa peur. Il croisa ses bras pour cacher ses mains et pour se donner un peu de confort.

Il semblait que les thérapeutes avaient raison. Ça aidait d'en parler. Le secret que Luciano avait gardé pendant neuf ans fut tellement lourd dans son esprit. Il se sentait déjà plus léger.

Abigaïle écouta l'histoire avec attention et parfois horreur. Les choses que les gens pouvais faire subir à d'autre. Elle comprenait mieu Luciano maitenant.

Elle vu que ces mains trembalaient et qu'il esseyait de les cachée. La jeune femme s'approcha doucement de lui et lui prit les mains. Elle les serra delicatement. Elle sentait que Luciano allait mieu mais il était tout chaud. Heureusement pour lui, les mains d'Abigaïle était glacée. Après un moment elle en plaça une sur le front du garçon et lui sourit.

''C'est mieu maintenant...Tu te sens plus léger n'est-ce pas...''

Sa voix était docue et silencieuse, comme la brise du vent. Justement, les fenêtres étaient rester ouverte et laissait une brise floter dans la salle. La feu tressaillit, ainsi qu'Abigaïle. Yuki était allé se pelotonner de l'autre côté de Luciano et cela fit sourire la jeune femme.

''Ne t'inquiète plus...Je sais que ça n'arrivera plus jamais...''

Abigaïle ne se reconnaissait plus. Elle était devenu douce et paisible, elle réussisait à le calmer. Elle se sourit intérieurement. La jeune femme regarda Luciano dans les yeux, on voyait sa peur, maitenant completement visible, mais on voyait aussi qu'il allait mieu.

Luciano fut un peu surpris quand Abigaile prit ses mains, et fut embarrassé de s'être montré si faible, mais il était content de l'avoir tout dit et d'avoir laissé tomber sa fièrté. Il sentit des larmes commencer dans le coin de ses yeux, et cacha son visage dans ses bras. Ses mains se serrèrent autour de celles d'Abigaile.

"J'ai toujours peur de m'approcher d'une flamme, même d'une simple chandelle. J'ai peur que si je la touche, je vais partir en feu." Malgré le fait qu'il avait si peur et qu'il pleurait presque, sa voix ne tremblait même pas.

Yuki se faufila entre le corps de Luciano et son visage caché, miaulant avec inquiètude. Luciano leva sa tête pour que Yuki puisse frotter son nex contre sa joue.

Après plusieurs minutes, Luciano fut calme. Il libéra une de ses mains pour flatter Yuki, et sourit timidement à Abigaile. "Merci de m'avoir écouté. Je dois vraiment t'aimer, parce que non seulement tu es la seule qui a deviné ma peur, mais tu es la seule personne à qui j'ai considéré parler de ça."

Abigaïle sourit timidement aussi. Elle aussi avait sentit un lien fort envers Luciano. C'était bizar mais...elle ne comprenait pas pourquoi mais...elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance. La jeune femme voyait qu'il voulait pleurer, elle se snetait honorer uq'il ai pu abaisser ses barièrre, laisser tomber sa fierté, elle lui raconter son histoire. Abigaïle sourit.

''Moi aussi, je ne pense pas que j'aurai écouté quelqu'un comme ça. J'ai resentit quelque chose...comme un lien...entre nous. c'était étrange...Et je pense que Yuki à eu un grand rôle dans notre amitié naissante.''

Elle sourit et rit légèrement. La chaton et Luciano avait une grande connection, et c'est un peu grâce à ça que Luciano et Abigaïle on commencer à parler. La jeune femme sentit soudainement son collier à son coup. Elle se sentait bixar, comme si elle avait de la difficulté à respirer. Elle se leva brusquement et alla à la fenêtre.

Abigaïle n'avait pas resentit ce mal depuis longtemps. C'était rare, mais des fois, il la surprenait. Au reflet de la lune, on pouvait voir qu'elle faisait des efforts pour respirer, elle tenait son collier dans sa main. Abigaïle le regarda un moment, son visage changea. Ce n'était plus de la douleur, mais plutôt une certaine mélancolie avec une grande tristesse.

La jeune femme réalisa ce qu'elle venait de faire et se tourna vers Luciano. Elle paraissait si différente sous la lune. Plus fragile, plus faible. La lune avait toujours eu cette effet sur elle, mais malgré cela, elle se sentait plus confortable sous ses rayons. On voyait qu'elle était embarassé de s'être montré ainsi. Elle regarda droit dehors, fixant l'horizon, le vent frappait de temps en temps. La jeune femme posa son regard d'or dans celui de Luciano.

''Désolée...ça m'arrive des fois...''

Elle s'accota contre le rebrod de la fenêtre et ne bougea plus. Elle était triste et inquiète un peu. Luciano allait probablement la prendre pour une folle maintenant.

Luciano se leva et alla s'accoter contre le mur près de la fenêtre. Il s'inquiétait pour Abigaile. D'une façon étrange, elle semblait très sensible aux souffrances d'autrui, mais c'était peut-être juste l'imagination de Luciano.

Évidemment, il n'était pas le seul avec une histoire triste et horrible. Il ne voulait pas demander ce qui n'allait pas--ce n'était pas de ses affaires--mais il serait là si elle voulait en parler. Après tout, c'est ce qu'elle avait fait pour lui. Et même s'il avait exposé tous ces secrets les plus personnels, il ne sentait pas qu'elle lui devait quelque chose en retour.

Une brise légère souleva ses cheveux et ceux de son amie. Elle avait l'air tellement fragile. D'un côté, Luciano aurait aimé être un de ces garçons qui tombaient facilement amoureux, et qui pouvait charmer n'importe qui. Sinon, il ne connaissait aucune autre façon de réconforter une fille. Il n'était pas du genre affectueux. Il ne l'avait jamais été et ne le serait sûrement jamais, sauf avec Yuki.

Le chaton se trouvait encore autour de son cou. Il miaula bruyamment et sauta sur le rebord de la fenêtre pour se frotter contre le bras d'Abigaile.

[ Whao, ça faisait longtemps! Embarassed

J'ai été tellement occuppée ces derniers temps, mais ça va mieux maintenant (du moins pour l'instant) et je ferai de mon mieux pour venir un peu plus régulièrement. ^^ ]

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